Chaque année, au moins deux villes sont élues capitales européennes de la culture par la Commission européenne avec le but de “mettre en valeur la diversité de la richesse culturelle en Europe et les liens qui nous unissent en tant qu’Européens”.

Il s’agit d’une importante initiative culturelle lancée en 1985 à la demande des ministres de la Culture grecque et français, Melina Mercouri et Jack Lang : la première capitale de la culture européenne fut Athènes, depuis lors plus de 67 villes se sont succédé (dont Marseille-Provence, Lille, Avignon, et Paris). 

Cette année est le tour de Bad Ischl-Salzkammergut  (Autriche), Bodø (Norvège) et Tartu (Grèce), qui ont été chargés de promouvoir leur patrimoine culturel par l’organisation d’événements, expositions, ateliers, festivals, excursions, etc. 

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Les récentes mobilisations orchestrées par les agriculteurs français, et au-delà (car des manifestations similaires se déroulent actuellement dans d’autres pays membres de l’Union Européenne), ont probablement suscité votre intérêt. Cet article se propose donc d'analyser les revendications des agriculteurs et de leurs soutiens dans le contexte européen. Nous examinerons également les lois agricoles actuellement en vigueur au sein de l'Union européenne, ainsi que les éventuels changements envisagés à la lumière de ces mouvements de contestation.

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Les élections européennes approchent à grands pas et l’ensemble du territoire se doit d’en être informé. Après la sortie du Royaume-Uni de l’Union Européenne, le nombre de députés au Parlement européen a été réduit à 705. L’année 2024 marque l'élargissement du parlement européen de 705 à 720 sièges dont 81 seront occupés par des députés français.

Il est crucial d’inciter les citoyens à exercer leur droit de vote afin de contribuer à façonner l’avenir de l’Europe. Notre centre EUROPE DIRECT et ses partenaires ont donc organisé une rencontre pour élaborer une stratégie d’information et de mobilisation optimale

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Amélie se trouve en Italie grâce au Corps Européen de Solidarité, un projet de volontariat international financé par l’Union européenne qui permet aux jeunes de 18 à 30 ans de vivre de 2 semaines à 12 mois à l’étranger en contribuant à l’action d’une organisation à but non lucratif. 

Elle nous a raconté son expérience dans la coopérative sociale A Modo Loro à Putignano, dans les Pouilles, dans le but d’aider les enfants qui présentent des troubles spécifiques de l’apprentissage ou d’importantes difficultés scolaires, en les soutenant dans leur méthode d’étude et pendant les activités de l’après-midi.

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Cheyenne est partie une année en mission avec le Corps Européen de Solidarité, un projet de volontariat international financé par l’Union européenne qui permet aux jeunes de 18 à 30 ans de vivre de 2 semaines à 12 mois à l’étranger en contribuant dans une organisation à but non lucratif. Elle nous raconte son quotidien en Lituanie dans un refuge pour animaux : découvrez son histoire ! 

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