Elise en renfort chez CRISTEEL

Elle est d’ici et d’ailleurs… Découvrez l’interview d’Elise Parmentier ! Originaire des Vosges, Elise est partie peu après le lycée faire un volontariat en Hongrie grâce à CRISTEEL. Désormais étudiante en Suède, elle s’apprête à poursuivre son cursus en Roumanie. Entre deux semestres à l’autre bout de l’Europe, Elise est revenue nous prêter main forte sur la préparation de plusieurs projets. Une aide très précieuse et fortement appréciée en ce début d’année déjà riche en évènements !

2024 Elise

© CRISTEEL EUROPE DIRECT

Peux-tu nous parler un peu de toi, Élise ?

Je suis vosgienne, j’ai vécu pendant 18 ans en France et à mes 18 ans j’ai voulu partir à l’étranger en Hongrie pour le volontariat. Après ce volontariat, je suis partie étudier la paix et la gestion des conflits en Suède. J’avais quelques semaines de libres entre mes deux semestres donc j’ai souhaité travaillé chez CRISTEEL pendant ce temps et après ça je pars en Roumanie pour un ERAMSUS+.

Pourquoi as-tu souhaité travaillé pour l’association ?

J’étais déjà en contact avec Roxane puisque c’est elle qui m’a fait partir en Hongrie avec le Corps Européen de Solidarité et on avait gardé de bons contacts. Je suis en accord avec les valeurs que portent l’asso et j’avais envie de voir comment ça se passe en coulisse pour accompagner les jeunes, pour gérer les évènements, etc.

As-tu aimé ton passage chez CRISTEEL ?

Oui c’était vraiment bien. J’ai eu des responsabilités dès le début et ça c’était vraiment agréable parce que j’ai pu aider à organiser des évènements et participer à pas mal de projets de l’association. J’ai pu travailler sur mes compétences relationnelles avec les partenaires mais aussi la com de l’association et le graphisme même si c’est pas mon métier de base. L’ambiance est vraiment cool et ça fait plaisir de travailler dans un environnement professionnel où les collègues s’entendent bien. On dirait une famille

Est-ce que tu voudrais revenir travailler ici à l’avenir ou dans le même domaine ?

Je ne veux pas revenir en France ou en tout cas pas sur du long terme mais j’aimerais beaucoup revenir travailler dans l’association sur des temps courts comme j’ai pu le faire ces dernières semaines. Pour travailler dans le même domaine, je pense que j’aimerais bien mais peut-être plutôt travailler auprès de communautés menacées ou qui souffrent de violences structurelles. Après mon volontariat auprès d’enfants de la communauté Rom en Hongrie, le documentaire qu’on a réalisé à l’Université de Malmö sur la violence que peut vivre la communauté Rom de la ville et mes études, j’ai vraiment envie de me concentrer sur cet aspect.

 

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